Texte de : Ghislaine Bricout - poétesse de Compiègne (Oise) Quelques traits fébriles
pour suivre les courbes,
pointer les seins
en boutons fragiles
tendus vers des mains inconnues.
Laisser le regard glisser
le long d’une chute de reins
afin d’épouser la cambrure.
Ombrer les arrondis
et marquer, d’une seule touche,
le nombril,
comme pour annoncer
les proches frémissements
d’un corps de femme offert……
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