L’équipage du Drakkar
s’est laissé prendre
aux sortilèges venus de l’océan
mêlés au souffle des vagues.
Le piège s’est refermé aux traîtres écueils
et là, dans une bâche de rochers,
une beauté à la peau laiteuse,
offrait son corps aux baisers salés,
laissait les embruns caresser sa rousse chevelure.
Mirage furtif vite disparu
sous l’haleine du vent !.......